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9 romans publiés… et toujours la même étincelle

Il y a quelques années, j’ai ouv

ert un premier fichier Word en me disant : « Allez, essaie. Écris ton histoire. » Je n’avais aucune idée d’où ça me mènerait. Certainement pas jusqu’ici !

Aujourd’hui, je regarde derrière moi et je réalise que j’ai publié neuf romans. Neuf univers complets, qui existent désormais en dehors de ma tête, que je peux tenir entre mes mains et partager avec vous. Et quand je compte toutes les histoires écrites – publiées ou en attente – le chiffre grimpe à quatorze. Rien que de l’écrire, j’ai du mal à y croire.

Chaque roman a laissé une trace. BELISAMA m’a appris la patience et la force des sagas et des univers complexes. (Elle s'enlove d'ailleurs chez un éditeur en 2026) L’enfant de Kepler m’a permis d’explorer la science-fiction. Le café des faux-semblants m’a rappelé que les masques tombent toujours. Capucine & le domaine d’Hope a été une plongée dans le mystère et les émotions. (Spoiler, c'est le roman que j'ai eu le plus de mal à écrire, peut-être parce qu'il est tombé sur la période où j'ai eu mon accident et qu'écrire (même sur un clavier) avec mon bras droit en moins pendant des semaines était plus compliqué... je ne saurais le dire.) En tout cas, cela ne l'a pas empêché de trouver son éditeur Avec Pitch, détective, j’ai redécouvert mon âme d’enfant. Et puis, il y a les collaborations, comme Croire en la magie, ou encore les nouvelles comme Dans tes rêves profonds, qui m’ont offert d’autres façons de raconter. Sans visage, ni repère m’a confrontée à mes propres obsessions et aux zones d’ombre de l’humain.

Écrire neuf romans, ce n’est pas seulement remplir des pages. C’est vivre mille vies. C’est tomber amoureuse de personnages qui n’existent que dans ma tête. C’est souffrir avec eux, rire parfois, et toujours finir par les laisser partir… pour mieux recommencer.

Et tu sais quoi ? Malgré les doutes, malgré les nuits blanches, malgré le stress de la sortie… l’étincelle est toujours là. Ce petit feu qui brûle, qui dit : « Continue. Il reste tant d’histoires à raconter. »

Alors merci d’être là, de lire, de partager ce bout de chemin avec moi.

Neuf romans… et ce n’est que le début ! Et pourtant, je ne me sens toujours pas légitime. Je ne suis jamais certaine que mes histoires soient “assez bonnes”, ou qu’elles valent vraiment le coup d’être lues. Mais une chose est sûre : j’y ai mis beaucoup d’amour, à chaque fois. Et j’espère que, d’une manière ou d’une autre, ça se ressent.

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